Nelson Deshommes

As-tu déjà triché aux examens?

Nous le savons tous et toutes, et nous le répétions toujours: qui vole un œuf, volera un bœuf. Beaucoup de gens ne considère pas l’effet de triché comme un acte grave ou qui dérange. Pourtant à mesure où l’on prend l’habitude de tricher cela vous conduira plus loin et même jusqu’à voler le bien d’autrui ou à être un grand corrupteur et encore pour certains cela ne dérange pas.

 En Haïti, à chaque période de l’organisation des examens du baccalauréat, le Ministère de l’Education nationale  réalise une campagne de sensibilisation contre la tricherie. Pas de téléphone portable dans les salles d’examens, pas de calculatrice programmable etc. sont entre autres l’essentiel du message. Même si ces responsables sont des anciens tricheurs et aujourd’hui des grands corrupteurs, il y va de l’avenir du pays qu’ils prennent cette sage décision pour lutter contre ce fléau.        La tricherie aujourd’hui, engendra la corruption tôt ou tard. Cela fait un bail, depuis le phénomène de corruption ronge le système éducatif haïtien. Difficile de fréquenter l’université d’Etat haïtien si on n’a pas de marraine ou de parrain. Ce qui veut dire, avoir une personne qui vous facilitera l’accès. Soit un Député, un Sénateur, un Magistrat et même un Ministre ; tous des anciens tricheurs et aujourd’hui des corrupteurs. Heureusement, il ya certaine entité de l’universite qui essaie par tous les moyens de lutter contre cette pratique malhonnête.

Le  Ministère de l’Education nationale en 2006, a sanctionne certains établissements scolaires du pays pour corruption, pour l’admission falsifiée des élèves en classe supérieure. Ce phénomène de tricherie ou de corruption se manifeste aussi par la vente des examens officiels, la vente illicite de licences de fonctionnement aux écoles et l’admission à l’intérieur du système éducatif des personnes non-qualifiées comme professeurs, directeurs, inspecteurs et même comme Ministres. Sans vouloir blesser personne, notons aussi que dans quelques écoles en Haïti, certaines élèves fille se prostituent avec leur professeurs dans le but d’accéder aux examens ou de passer en classe supérieure.

Ainsi, le système éducatif haïtien va très mal. Peut-on continuer à former des gens à devenir des tricheurs professionnels et des corrupteurs ? Sans doute, la tricherie et la corruption sont des parents consanguins. La société haïtienne doit trouver des moyens pour venir à bout de cette plaie qui ternit l’image du pays.


Qui dirige Haïti, un président ou un gouverneur ?

Une république démocratique et indépendante convie à un président dans le sens de la séparation des pouvoirs. Une colonie moderne dépendante et sous mise selon le langage actuel (sous tutelle) demande un gouverneur. Depuis des décennies, Haïti le plus ancien Etat de l’Amérique est entrée dans une phase de décomposition exacerbée, les dictateurs apprentis ont livre le pays aux enchères, ils ont hypothéqué pour le dollar et le pouvoir l’avenir de tout un peuple et les institutions légitimes.

Les relatives élections déroulées en Haïti ont soulevé les attentions des penseurs et les critiques les plus acerbes. Certains prétendent que ces joutes représentent une solution à tous les problèmes actuels du peuple haïtien, question d’insécurité sociale et alimentaire, du chômage, où de développement en général. D’autres essaient de problématiser la situation d’Haïti et voient en ces élections un paravent, un aspect démagogique du terme pour l’application du plan de la communauté internationale dans le cadre du projet de la mise sous tutelle rédigé depuis plusieurs années par des ambassadeurs Latino-Américains.

Le peuple haïtien ignorant en grande partie les grandes décisions et la situation internationale a pris dans son propre piège, celui de déposer un bulletin de vote contraire à ses intérêts mais en faveurs d’une clase décideuse de machination à l’échelle nationale et internationale. Ainsi un président ou un gouverneur était sorti de ces joutes électorales avec la participation extrémiste d’une force internationale dans le processus électoral.

Les problèmes des haïtiens n’étaient jamais axés sur des élections, même  quand dans la logique de démocratie libérale et représentative elles sont un passage obligé. Les grandes décisions ont fait perdre à la majorité des haïtiens au début du XXIe siècle le sens de leur responsabilité et de leur conviction. Il faudrait poser des questions sur leur mode de vie précaire et  sur leur revenu par personne à moins $ 1000, sur leur ration alimentaire à moins de 1500 calories, sur leur taux d’analphabétisme à plus de 70% et sur leur espérance de vie à moins de 50 ans et sans oublier leur taux de chômage à plus de 75%.

En ce 21e siècle, Haïti connait une société de délaissement et de répugnance, la communauté internationale est imbue de tout cela, cette dernière contrôle tous les rouages électoralistes du pays ; depuis l’enregistrement, la collecte des données, les cartes d’identification nationale, les bulletins de vote, le choix des centres de votes, des membres de bureaux et jusqu’aux financements, alors qu’elle échoue toujours dans ses tentatives de sécuriser le peuple haïtien ou de stabiliser vraiment la situation en Haïti.

La planification au populisme rétrograde de gauche ou de droite en fonction de leurs intérêts, les manœuvres de proclamation des résultats sont autant de facteurs qui mettent l’esprit éclairé et éveillé à observer la concrétisation d’un projet élaboré au préalable. Ce fut un fiasco qui ne fait qu’aggraver la crise dans l’hypocrisie totalitaire des puissance assoiffées de dépendance.


18 année de folie pour « livres en folie ».

On atteint l’âge de la majorité dans beaucoup de pays quand on a 18 ans. Cette réalité n’est pas différente en Haïti. En effet, ce jeudi 7 juin  la plus prestigieuse manifestation littéraire haïtienne sera majeure.

« Livres en folie » a 18 ans, pour le bonheur des amants du livre, pour hisser encore plus haut la littérature haïtienne. Pour cette 18édition, à livres en folie environ 131 auteurs seront en signature, 1368 titres disponibles et surtout 200 nouveaux titres, sans oublier cette réduction de 40% sur tous les livres.

Il faut souligner que grâce à la nouvelle technologie, la diaspora haïtienne et d’autres gens intéressants aux œuvres littéraires haïtiennes peuvent placer leurs commandes via www. Livresenfolie.com, et pour le public des différentes villes de provinces ils pourront participer à cette fête en retirant leurs livres dans les différentes succursales de la Unibank.

Livres en folies, c’est le mariage entre les auteurs et les lecteurs, un espace de convivialité où toutes les couches de la population se rencontrent. Tout comme dans les éditions précédentes, il y a toujours un invité d’honneur, cette année le public fera connaissance avec Georges Castera, un grand poète qui a la main mise par son œuvre sur le cœur de cette génération, avec son recueil de poème titré : << pwenba. >>

Par ailleurs, depuis le 31 mai dernier avec tous ses partenaires, le journal Le nouvelliste a lancé la quinzaine du livre à Port-au-Prince. Ce pour susciter plus d’engouement et d’enthousiasme chez certains jeunes qui ne voient pas encore leurs intérêts dans ce genre d’activité. Ainsi désormais, le mois de juin peut être considéré comme étant le mois du livre en Haïti.

Alors, si pour certains observateurs rien ne marche en Haïti,  sur ce coin de terre jadis la perle des Antilles, on peut dire non, car notre culture porte encore notre bicolore sur le toit du monde.

Enfin, la bonne nouvelle de cette année, est que l’idée de faire réellement de « livres en folie » une activité nationale et pourquoi pas internationale germe déjà dans les cœurs des différentes acteurs concernés par cette fête de la culture haïtienne.


Des marchands de médicaments partout!

Dans les pays pauvres, l’accessibilité à des médicaments de qualité fait souvent défaut à la population. Malheureusement, de ce constat Haïti n’est pas épargné.

Pour s’échapper du chômage grandissant dans le pays, beaucoup de nos compatriotes  se lancent dans la vente des produits pharmaceutiques. On les remarques un peu partout, soit dans les rues, dans les marchés publics et notamment dans les autobus qui assurent le transport en commun.

Il faut souligner qu’à maintes reprises, les autorités tentent en vain de freiner ce phénomène. Cependant, cette pratique devient monnaie courante dans le pays. Beaucoup de citoyens restent perplexe quand à la volonté réel de l’Etat de protéger les consommateurs. Pourquoi le pouvoir en place, n’attaque pas les fournisseurs de ces produits. En effet, de nouveaux stocks de ces produits pharmaceutiques et cosmétiques arrivent de temps en temps sur le marché.

D’autre part, ces marchands ne veulent pas lâcher prise, ils ne voient pas l’inconvénient de pratiquer la vente de ces produits. Afin selon eux, de pouvoir aider les gens des petites bourses qui n’ont pas les moyens suffisant pour se procurer des médicaments de la pharmacie. Ce, malgré le fait que leurs produits représentent un danger pour la population.

Par ailleurs, la qualité et l’efficacité représente deux critères aux quels doivent obligatoirement répondre les médicaments fabriqués à fin de sauver des vies. Sur ce, on se demande combien d’anonyme qui ont quitté cette terre, après avoir consommé ces médicaments passe-partout.

En effet, s’il est vrai que ces citoyens doivent se débrouiller pour gagner leur vie, il revient aussi à l’Etat d’assurer la vie et la santé de tous les haïtiens.

 


Haïti : quand déchiras-tu ton drapeau de la division?

C’est dans la ville d’Arcahaie le 18 mai 1803, fut crée le drapeau haïtien lors d’un congrès tenu durant la guerre d’indépendance. La création du bicolore fut le fruit d’une alliance entre les anciens libres et les nouveaux libres de la colonie de Saint Domingue. En supprimant la bande blanche du milieu du tricolore français, et en recousant ensemble les bandes rouge et bleue qui restait, le bicolore en est venu à incarner l’esprit de liberté et d’union parfaite de la nation haïtienne.

Cependant, 209 ans plus tard le drapeau haïtiens  ne représente plus jamais le symbole de l’unité qui a donné naissance à la liberté de la première république noire du temps moderne. La division qui ronge les tissus sociaux handicapent le développement de ce pays. les proverbes qui règnent aujourd’hui: c’est chacun pour soi et Dieu pour tous, chak koukouy klere pou jew et zafè kabrit pa zafè mouton.  Il n’est plus question de mourir est beau, pour le drapeau et pour la patrie. Voire de dire dans nos rangs point de traîtres . Même les oiseaux du ciel ne chantent plus avec nous, BêCHONS JOYEUX! BêCHONS JOYEUX!. Les cœurs ne se tréssaillent plus de joie quand les petits enfants entonnent la Dessalinienne.

Pourtant, beaucoup d’haïtiens aimeraient lire ou entendre encore un nouveau Frederick Douglass qui parle d’Haïti en ces termes: <<  C’est un pays d’une beauté frappante, diversifiée par des montagnes, des vallées, des lacs, des rivières et des plaines, et qui contient en lui-même tous les éléments nécessaires pour une grande et durable richesse. la position calacaire de ses montagnes et de son sol est une garantie de fertilité perpétuelle. Sa chaleur tropicale et son humidité insulaire maintiennent sa végétation fraîche, verte et vigoureuse toute l’année….>>

Oui, dis-nous Haïti chérie, quand cesseras-tu de vivre sous cette drapeau de  division? quand est ce que tes fils et filles vont cesser de te lapider? Dis-nous la perle des Antilles, quand débarrasseras-tu de tes faux amis et tes vrais ennemis? le 2 janvier 1893, dans un discours prononcé par Frederick Douglass, il dit ceci: << A leur honte, qu’on sache que des Américains hautement placés se sont vantés de leur habileté à commencer une révolution en Haïti à leur gré.>>

En effet, il temps que les haïtiens s’unissent autour du bicolore et se rappelle qu’Haïti est le premier pays noir à prendre son indépendance sans bénéficier d’une aide extérieure. Ainsi, on pourra retrouver vraiment un autre Frederick Douglass disant: << Dans sa nature même, le pays possède beaucoup pour inspirer à son peuple force, courage et respect de soi. topograhiquement, le pays est magnifiquement beau, grandiose et impressionnant, sphère bleue et parfumée, il s’élève de la mer environnante dans une splendeur sans égale.

 


La formation à distance, une porte ouverte pour le développement d’Haiti.

Le problème majeur de l’université d’Etat d’Haïti est son incapacité à recevoir un très grand nombre d’étudiants. Sur près de 26000 inscrits chaque année à Port-au-Prince, seulement 3500 ont pu y accéder à L’UEH sur concours.
Pourtant les nouvelles technologies de l’information, ont depuis longtemps aidé à améliorer la transmission du savoir et aussi la qualité de l’enseignement.
Tout développement durable d’un pays, passe nécessairement par la formation des cadres pouvant servir sa communauté et d’autres pays de la planète suivant sa capacité. Et aussi par la formation intégrale du citoyen qui doit se sentir appartenir à cette nation.

Heureusement, les derniers développements des technologies sont en effet exploités par beaucoup de pays. Ainsi, ils ont pu améliorer en profondeur la formation et même étendre la couverture de l’enseignement. Depuis lors, plus de frontières entre les continents pour les étudiants qui suivent des cours à distance.

Considérant le besoin d’éducation et de formation, pour le développement combien nécessaire d’Haïti, il est plus qu’important que les acteurs nationaux et les partenaires internationaux du pays se lancent dans le projet d’e-learning. Ce qui donnerait un coup de pouce considérable à l’enseignement supérieur en Haïti.
Bien que l’apprentissage électronique soit déjà une réalité en Haïti, car, il y a au moins un centre d’enseignement supérieur qui offre déjà des cours à ses étudiants par vidéoconférence. Toutefois, en mettant en place un système d’éducation en ligne disponible dans toutes les villes de province de pays, la capacité d’accueil des universités d’Etat et privées serait augmenté. Et le fossé énorme qui existe en Haïti et d’autres pays en matière de taux de fréquentation universitaire pourrait se réduire considérablement.
Et aussi, on réduirait le flux migratoire des jeunes haïtiens vers la république Dominicaine en quête d’une bonne formation universitaire.


Sauvons les enfants en domesticité en Haiti.

Dans la société haïtienne, il est impossible de parler de protection des enfants. Ces derniers sont souvent négligés par leurs parents et notamment par l’Etat. Difficiles de trouver des textes de loi protégeant les enfants haïtiens.

Malheureusement, aujourd’hui encore certains enfants sont très vulnérables et connaissent des situations difficiles tant à l’intérieur de leurs familles que dans la société. Il  faut surtout protéger les enfants contre le phénomène de domesticité, appelé phénomène de << RESTAVEK>>.  On estime à 300.000 le nombre d’enfants en domesticité en Haïti.  Dans la société haïtienne, il est bon aussi de défendre les enfants contre la délinquance, la drogue, la prostitution, la violence à tous les niveaux, la corruption, l’analphabétisme. Il faut les défendre aussi contre la mendicité, l’insalubrité, la sorcellerie, le mensonge et la misère.

Il faut rappeler qu’avant le séisme du 12 janvier, selon le journal << Le Matin>> il était environ 173.000 enfants qui vivaient en domesticité et 75% d’entre eux étaient des fillettes de 6 à 12 ans. 5000 à 10.000 enfants vivaient dans les rues des différentes grandes villes du pays. L’Etat haïtien ne fait absolument rien pour promouvoir les droits des enfants, pour protéger leur dignité et défendre tout enfant contre la violence politique, familiale et sociale, et ceux qui font face à des situations vulnérables à travers tout le pays.

En outre beaucoup d’enfants vivotent, ils ne jouissent pas de meilleure sante et ne connaissent aucun niveau de vie comparable aux enfants des autres pays de la région. Par ailleurs, ils sont nombreux les enfants qui vivent dans des couples monoparentaux et désunis. C’est une pratique en Haïti, que l’enfant ait abandonne par son père. Ainsi toute la responsabilité de l’enfant incombe à leur mère.

Beaucoup de famille en raison du nombre des enfants ou de faibles moyens, se voient obligées de livrer leurs enfants à la domesticité, une situation qui rend très faible le taux des enfants scolariser en Haïti et faire régresser toujours le pays.


Combien de temps faudra-t-il encore à Haiti?

La république D’Haïti et la république dominicaine partageant l’ile d’Hispaniola ont en commun le colonialisme européen et de nombreuses occupations américaines dans leurs histoire; sans compter des régimes politiques corrompus à répétition.Toutefois, la république voisine depuis tantôt 20 ans a fait un bond en avant vers le développement économique. Et quand est- il  d’Haïti, mère de la liberté des noirs ?

En 1803, l’union entre les anciens libres et les nouveaux libres de la colonie de Saint Domingue ou l’union des noirs et des mulâtres allaient déboucher sur l’indépendance d’Haïti, D’où notre devise l’union fait la force. Cependant, après l’indépendance ce n’est qu’une période de confusion qui commence. Car entre 1804 et 1957, quelques 24 chefs d’Etats sur 36 ont été renversés ou assassinés.

La vie du jeune Etat était très fragile, une chose de pire allait ruiner son économie, c’est en 1825 quand le Roi de France Charles X demanda une indemnité de 150 millions de Franc-or pour reconnaitre l’indépendance de la première république noire du monde. Une somme que le Président Jean P. Boyer réussît à réduire à 90 millions de francs- or.

Une gifle pour la mémoire de Dessalines selon des Historiens. Le père de la patrie avait déclaré  le 1er janvier 1804 << Peuple Haïtien, rappelle-toi que j’ai tout sacrifié pour voler à ta défense : parents, enfants fortune et que maintenant que je ne suis riche que de ta liberté ; que mon nom est devenu en horreur à tous les peuples qui veulent l’esclavage et que les despotes et les tyrans ne le prononcent en maudissant le jour qui m’a vu naitre. Si jamais tu refusais ou recevais en murmurant les lois que le génie qui veille à ta destinée me dictera pour ton bonheur, tu mériterais le sort des peuples ingrats. >>

Haïti ! Pour combien de temps attends –tu encore un autre Dessalines ou un Toussaint Louverture ? Et voilà, 208 ans après  l’indépendance d’Haïti, la litanie de ses souffrances ne fait que commencer. Le peuple attend toujours son Sauveur, à chaque période électorale, la nation entière a une lueur d’espoir que cela va changer, par exemple : février 1986 départ de Duvalier, décembre 1990 élection du Président Aristide, février 2004 départ du président Aristide etc.

Rien de nouveau sous le ciel d’Haïti Thomas, un vieillard a déclaré en Haïti, les gros poissons ne cessent jamais de manger les petits.

Alors qu’Haïti revenait sur le devant de la scène de l’actualité avec le tremblement de terre du 12 janvier 2010 ; pas mal de conférences pour la reconstruction du pays avaient été organisé tant en Haïti qu’à l’étranger et combien de milliard de dollar de promesse. Mais combien de temps encore Haïti devrait attendre pour que l’élite du pays fasse la paix et vivre la devise du pays, l’union fait la force et non la division au profit de l’ennemi.


Haïti détiendrait-elle le secret de la pierre philosophale?

Publier par Le nouvelliste 19 decembre 2008!

« Il est dit que, parmi les survivances de l’Atlantide, il y a une île qui en conserve beaucoup la mémoire. Cette île n’est autre qu’Haïti qui, la seule, possède le secret de la zombification. Car plusieurs peuples de par le monde peuvent mettre fin à la vie, mais seuls les initiés haïtiens sont capables de faire revivre des individus déjà tués par des procédés connus d’eux seuls. Secrets et procédés qui remontent à la crucifixion de Jésus. » Louis Anthony Dauphin parle de l’histoire non officielle du pays. Il remonte à Christophe Colomb, qui y était venu chercher la pierre philosophale.Il argumente sur les Vierges noires et blanches qui, selon le chercheur, peuvent opérer des miracles pour libérer Haïti, dite la matrice de la terre, de ses envahisseurs modernes…

Le Nouvelliste : Depuis quelques mois vous publiez dans Le Nouvelliste des textes sur le Continent Atlantide. Vous parlez aussi du Triangle des Bermudes, de Lavilokan, des Vierges noires et blanches, des grottes d’Haïti qui cacheraient des richesses inouïes. On s’intéresse à ces textes. Certains, par contre, relèvent qu’il y a dans vos approches un étrange mélange de mystère et de science. Voulez-vous nous faire découvrir une autre dimension de la recherche dans le domaine de l’anthropologie haïtienne ?

Louis Anthony Dauphin : Je suis tombé sur la question de l’Atlantide à partir d’un constat et d’une prise de conscience face à cette descente aux enfers dont notre pays est l’objet. A l’heure qu’il est, Haïti souffre de tous les maux d’Israël : insécurité, chômage, kidnapping, misère, mauvaise gouvernance, épidémies, l’occupation du territoire, la lente disparition des classes moyennes, enfin, et surtout, la démission de la classe politique et des élites toutes tendances confondues. Autant de fléaux qui entravent la marche de la nation et nuisent énormément à la résurgence de l’Atlantide qui, selon les prophéties, doit refaire surface et mystiquement et géographiquement. A ce moment-là, on aura six continents. Cette prédiction sera accompli en faveur d’Haïti : Aux derniers temps, le premier sera le dernier et le dernier sera le premier.

La mémoire de l’Atlantide

L.N. : Vous n’êtes pas un archéologue, donc il y a des recherches de terrain que vous n’avez pas concrètement faites. Cependant, votre discours fascine divers lecteurs. Où avez-vous trouvé l’articulation qui vous permet de croire à la remontée éventuelle d’une grande civilisation dont on dit qu’elle avait disparu en partie par une mauvaise manipulation d’énergies qui a provoqué un grand cataclysme ?

L.A.D. : Comme je l’ai déjà souligné au cours de mes articles, ce travail embrasse plusieurs disciplines à la fois : l’histoire, la géographie, la géologie, l’archéologie, la paléontologie, la spéléologie sans négliger l’aspect ésotérique et mystique. En un mot, ce travail est scientifique et mystique. Il embrasse tout. Car tout est dans tout. La vie n’est-elle pas faite de mystères ? On a le mystère de la création du monde, le mystère de la mort et de la résurrection du Christ et de son retour glorieux. En essayant d’exhumer l’Atlantide, ce continent disparu à l’emplacement duquel se trouve l’océan atlantique, et pour cause, j’ai pu me rendre compte que cette question n’est plus un mythe. C’est une pure réalité. Il faut reconnaître que le célèbre philosophe grec Platon, disciple de Socrate, est le premier à faire état de l’existence de l’Atlantide, Atlantis comme il le désignait, dans son Traité de politique intitulé La République. Dans deux dialogues, il conta le récit d’une île continent qui a été le berceau d’une civilisation extraordinaire et le foyer d’un vaste empire qui avait disparu à la suite d’un grand cataclysme. Lui même a puisé ses renseignements de Solon, ce grand législateur grec qui, au cours d’un voyage en Egypte, a recueilli des informations des prêtres égyptiens qui lui parlèrent de la richesse, de la splendeur de cette civilisation qui étendait son pouvoir presque à l’échelle de la planète. Cette civilisation a été effondrée par la faute de ses élites qui pratiquaient ouvertement la magie noire et les sacrifices humains.

L.N. : Nous allons nous étendre un peu sur ce que vous appelez les mystères de la mort et de la résurrection. Selon des données scientifiques, on signale que des passages entiers de la Bible sont des phénomènes animiques et non historiques. Ils seraient des exemples dans l’histoire de l’humanité. Le phénomène de la mort et de la résurrection est très connu dans le vaudou. Il n’y a pas de civilisation sans un mythe fondateur. Telle est le cas de la cérémonie du Bois-Caïman. Quand vous parlez de magie noire, ne reprenez vous pas une certaine approche dualiste qui vient de l’occident chrétien ? Pensez-vous que des pratiques dites magiques peuvent ébranler une civilisation ?

L.A.D. : La Bible, le livre des livres, n’est pas le seul livre sacré. Presque toutes les civilisations ont le leur. A telle enseigne que toutes ou presque elles font état d’un déluge universel ou d’une disparition d’une partie de la terre. Les chinois, les hindous, les civilisations précolombiennes ont leur propre lecture. Chez nous en Haïti, si vous allez à Saint Grégoire , dans les hauteurs de Fonds-des-Nègres, dans le Département des Nippes, vous rencontrerez plus d’une centaine de grottes et de chambrettes taillées dans la pierre avec la statue du Saint Grégoire en dessus et vous trouverez des paysans, ne sachant ni lire ni écrire, ignorant tout le b a ba de la Bible qui vous parle de Noé, du Déluge. C’est la preuve que non seulement le Déluge avait eu lieu véritablement et qu’elle s’apparente à la destruction de l’Atlantide. Car, la véritable cause de la disparition des Atlantes, c’est parce qu’ils voulaient se mesurer à Dieu. Il est dit que, parmi les survivances de l’Atlantide, il y a une île qui en conserve beaucoup la mémoire. Cette île n’est autre qu’Haïti qui, la seule, possède le secret de la zombification. Car, plusieurs peuples de par le monde peuvent tuer, mais seuls les haïtiens sont capables de faire revivre des individus déjà tués par des procédés connus d’eux seul. Secrets et procédés qui remonte à la crucifixion de Jésus.

Jésus noir

L.N. : Dans une interview que j’ai eue avec un chercheur connu, le Dr Daniel Mathurin, il a laissé croire qu’il y avait un Jésus noir dans l’histoire de l’Atlantide. Que pouvez-vous en dire ?

L.A.D. : Parler de Jésus c’est parler du peuple juif qui, lui même, a une origine commune avec les haïtiens. Ils sont un seul et même peuple. Il faut rappeler : lorsque les juifs étaient en captivité en Babylone, parmi les 12 tribus dix ont répondu à l’appel du prophète Esdras qui exécutaient l’ordre de l’Eternel. Les deux autres n’ont pas obéi. Elles ne sont autres que nous, les haïtiens. C’est pourquoi on trouve dans le sud d’Haïti beaucoup d’endroits et de localités qui portent des noms bibliques, le Mont Sinaï, à Port-Salut. Christophe Colomb, qui était un templier et qui savait où il allait, ne disait-il pas au cacique Guacanagaric , en foulant la terre d’Ayiti, Quisqueya ou Bohio :  » Où sont le temple et le mont du Christ, Monte Cristi ? » Haïti n’est-elle pas le berceau de l’Atlantide ? Le lieu privilégié du Jardin d’Eden ?

L.N. : Vous parliez plus haut de mémoire de l’Atlantide dont notre pays détiendrait le secret. Certains , après de longues recherches, ont fini par déduire que notre terre serait une bibliothèque akashique qui emmagasinerait des savoirs très anciens. Y croyez-vous ? Comment s’opère cette accumulation de savoirs ?

Agartha, Lavilokan, Ram Krisna…

L.A.D. : J’y crois fermement. D’ailleurs le Comte de St Germain, de qui Voltaire disait : « C’est un homme qui sait tout et qui ne meurt jamais » en a fait état dans ses récits voilés où il parlait de l’Agartha au Tibet, des archives mystiques de l’humanité dont Haïti serait la détentrice. Lavilokan qui est en contact direct avec le Ram Krisna de l’Inde n’est-elle pas l’un des plus hauts lieux mystiques du monde, si ce n’est le plus grand, au dire des moines tibétains ? N’est-elle pas la réplique locale du temple de Salomon à Jérusalem parce qu’elle contient le lieu saint et le lieu trois fois saint où nul humain ne peut pénétrer ? A l’exception du grand prêtre Déka quand il est possédé! Il est l’équivalent du Grand sacrificateur tel que le décrit la Bible. D’ailleurs, deux prêtres français qui ont commis l’imprudence de fouler le sol sacré de Lavilokan, lors de la campagne dite de rejetés, ont péri en mer le même jour en se rendant à l’ile de la Tortue le même jour et les objets, indûment enlevés, sont retournés à leur place indemnes. Cependant, Laviokan n’est pas ce temple dont parla Christophe Colomb et dont l’identité ne lui a pas été révélée. Il est tout autre, est souterrain, et situé à Morne Dorima, non loin de Port-de-Paix. Il contient treize portes et donne sur les treize facades du monde. Le chiffre 13 ayant sa valeur propre valeur en kabbale et en numérologie, chiffre tant redouté par les américains.

Des grottes et autres tunnels…

L.N. : Il y a le plan physique avec les richesses du territoire et ses secrets. Il y a aussi, sur un plan plus subtil, les pouvoirs encore inconnus de l’énergie mentale. Il nous semble que la pierre philosophale qui n’a jamais été trouvée serait dans une dimension plus haute que le plan matériel. Si Haïti constitue les archives de l’humanité, serions-nous en possession de cette richesse tant convoitée par beaucoup de sociétés secrètes et des milieux scientifiques contemporains ?

L.A.D. : Haïti, cette terre des Atlantes, terre chérie de La Vierge, d’Isis,d’ Aset,de la Vierge noire ou blanche, recèle de nombreuses grottes dont Marie Jeanne à Port-a-Piment dans le Sud qui serait relié par un tunnel jusqu’au Mexique et même à la presqu’île du Yucatan, la Voûte des Trois Mamelles, Marie Gauvin, La Foret , Arc-en-Ciel dans la Grand’Anse, la Grotte Au Bassin à l’île de la Tortue qui contient un temple pyramide aussi étendu que la grande pyramide d’Egypte et qui renferme également un temple solaire situé sous la mer et non sur la terre ferme et qui est illuminé 24 heures sur 24… Citons : St Grégoire dans les Nippes, les grottes du Dondon qui sont reliées à la Grotte de Saint Raphaël ,à la Grotte de Plaisance et aux Grottes de Saint Michel de l’Attalaye ; Jean Zinga à Marchand Dessalines qui est reliée au Fort de la Crète à Pierrot, aux Gonaïves , A Trou Bondie dans les hauteurs de Port-de-Paix qui, elle-même, est reliée à la Grotte aux Bassin à l’île de la Tortue ; les Grottes de Thomonde, les deux Grottes de Marigot et la Grotte de Meyer dans le Sud-Est…

L.N. : Qu’est ce qu’il en est de la pierre philosophale ?

L.A.D. : Il ne fait point de doute que notre pays détient effectivement la pierre philosophale que les Atlantes nous ont légué en héritage et dont le prophète Nostradamus a longuement parlé. C’est cette pierre que recherchait Christophe Colomb et que les « faux amis d’Haïti » veulent s’approprier en nous imposant cette occupation masquée sous sa forme politique.

L.N. : C’est quoi la pierre philosophale ?

L.A.D. : Elle a plusieurs vertus. Originellement, on dit qu’elle peut faire changer tous les métaux en or. Mais, elle est plus que cela. Elle confère le don de l’élixir, de la longévité, de la voyance, de la transmutation…

L.N. : Avant d’en venir aux Vierges et à ce que représente le principe féminin dans notre culture, soulignons que certains anthropologues et écrivains haïtiens auraient trouvé cette dite pierre dans des rituels de feu, des cérémonies dédiées à Ogun Feray. Jacques Roumain l’aurait identifié, dans sa vertu de communication,avec l’allégorie de l’eau de Fonds-Rouge avec Gouverneurs de la Rosée…

L.A.D. : Ogun est identifié à Vulcain, le dieu des forgerons, à Saint Jacques Majeur. Bien que moi, personnellement, je ne crois pas dans le syncrétisme catholico/vodou. Ce n’est pas prouvé. Le vodou, ayant existé avant la religion catholique, est la religion originelle avec ses nombreuses variantes atlantes, indiennes, africaines, haïtiennes et autres.

L’éternelle figure de la mère

L.N. Vous soulignez aussi dans vos approches l’importance des Vierges. On présente souvent Haïti comme une matrice. Pourquoi la figure de la mère est-elle si présente dans notre mentalité collective ?

L.A.D. De même que toutes les mères sont les mèmes, de même toutes les Vierges, noires ou blanches ou les nombreuses « Notre Dame » sont toutes une même et unique personne : La sainte Vierge Marie revêtant divers aspects et dénominations suivant les circonstances, les lieux, les pays. Les Vierges noires ne sont autres que la représentation de Eve, Isis, Aset, les filles de Loth. Isis ne dit-elle pas : « Aucun humain n’a encore soulevé mon voile, je suis une partout »?

L.N. : Elles seraient toutes liées au principe lunaire. Au jardin des Oliviers, Jésus aurait vu la lune en priant son père. Certains pasteurs affirmeraient que ces Vierges seraient toutes venues de Jezabel, qui serait un principe de sensualité et de religiosité ? Qu’en dites vous ?

L.A.D. : C’est faux et archi faux. Ces Vierges n’ont rien à voir avec la fameuse Jézabel rencontrée dans l’ancien testament et qui était étrangère au peuple juif. Les pasteurs protestants qui parlent du Royaume des cieux et du retour fictif et hypothétique de Jésus Christ ne peuvent pas appréhender certains mystères, car Martin Luther n’était qu’un simple moine et non un évêque. N’ayant pas atteint la plénitude du sacerdoce, il ne pouvait pas, dans sa Réforme, percer certains mystères de la vérité qui est une et universelle. Vérité que détient l’Eglise catholique. A ce propos, le Christ disait : « Au dernier temps la vérité nous affranchira ». C’est à ce travail que je m’attèle en exhumant la question de l’Atlantide qui est purement biblique et qui se trouve décrite dans l’Apocalypse 21 verset 1 à 5 parlant d’un « nouveau ciel et d’une nouvelle terre ».

La fille qui s’ignore

L.N. : On dit aussi quelque part dans la Bible : « Ils viendront de toutes les nations pour l’adorer ». Ils sont plusieurs chez nous, les soldats. Qu’est ce qu’ils viennent adorer ?

L.A.D. : Comme je l’avait dit dans le précédant article : la Vierge-Miracle à Saut d’Eau, qui vous explique ce qu’est l’Atlantide, peut vous dire ce que Jésus a fait dans ce pays d’Haïti, terre des Atlantes, où il est né précisément. Il s’apprête à faire en Haïti le plus éclatant des miracles jamais vus nulle part ailleurs. Il s’évidente que notre pays est voué à un destin messianique, qu’il est appelé à occuper un rôle de premier plan tel que stipulé dans cette prophétie : le premier sera le dernier et le dernier sera le premier. C’est ce qui explique tout cet acharnement et toutes ces convoitises de la communauté internationale représentée par la Minustah qui a échoué en Haïti à l’égal de toutes les missions des Nations Unies.

L.N. : C’est quand même un pays de paradoxes. D’un côté il y a les incertitudes du délabrement, d’autres diraient le « démembré », de l’autre il y a les richesses que vous avez mentionnées. Comment expliquer ces convoitises internationales face à un pays physiquement en plein chaos ?

L.A.D. : Haïti est comme une grande fille qui s’ignore. Elle ne prend pas conscience de ce qu’elle représente et de l’immensité de ses richesses. Il est du devoir de tous les haïtiens de bonne volonté, de toutes les forces vives de travailler à son relèvement, de s’unir pour ne pas être constamment l’objet des occupations répétées comme il a été le cas pour le peuple juif qui s’est ressaisi et a fondé l’Etat d’Israël avec l’aide, bien sûr, d’Haïti dont le vote a été déterminant à la tribune des Nations Unies en 1948.
Propos recueillis par Pierre Clitandre

Brève biographie de Louis Anthony Dauphin: Ancien officier des F.A.D.H. Etudes en Droit et Communication sociale, pratique le journalisme depuis une vingtaine d’années, spécialiste en Relations internationales, sociologue chercheur et maître-conférencier,a suivi des stages et séminaires à Porto-Rico et Glynco,Georgia,USA.Catholique pratiquant et spiritualiste.Tel: 3526-4245

 

 


La prostitution fait-elle honneur des femmes?

Ils sont nombreuses les personnes qui croient que la femme est la plus belle créature de tout l’univers. Si vous ne croyez pas vous-même, alors poser la question aux yeux de votre cœur.
La femme est la plus tendre et la beauté parfaite de ce monde.
Par ailleurs, à réfléchir sur la question ci-dessus, si vous êtes moralistes, vous feriez ipso facto un jugement et donner votre position. N’attendez surtout pas de moi un jugement de valeur sur la personnalité humaine. Car, aujourd’hui je ne porte pas mon chapeau d’Héros Cornélien. S’il est vrai que pour Corneille, l’honneur est au dessus de tout, on ne peut pas vraiment se demander si l’honneur fait partir du vocabulaire des prostituées.

C’est quoi la prostitution ?
Ce mot, n’est –il pas évolué ? Si bien qu’on parle de prostitution pour des hommes politiques. La définition la plus élémentaire de la prostitution c’est le fait d’avoir des rapports sexuels rémunérés.
En effet, comment te sentirais-tu, si un beau soir tu as rencontré ta petite sœur de treize ou quinze ans sur le trottoir ? Ou comment réagirais-tu, lorsque tu trouves que ta charmante adorée, avec qui tu vas te marier est une prostituée ? Serais –tu fier(è), si tu découvres que ta maman bien aimée est une……….
La prostitution est perçue comme une déviation de la sexualité humaine. Elle entre dans le cadre des amours déviées. Aujourd’hui, dans beaucoup de pays, la prostitution devient un commerce rentable tant prive que publique. Doit-on vraiment continuer à commercialiser la femme ? Dans cette société, la femme devient marchandise et produit de consommation. Ainsi, n’importe qui peut la marchander et l’acheter.
Dans le livre de Daniel Ange, (ton corps fait pour l’amour) il a fait savoir :<>
Aujourd’hui encore, la publicité qui passe bien est celle qui vous montre une femme nue ou presque.
Rêves-tu d’une societe sans des prostituées ? Ce n’est pas une chimère ! Car Martin Luther King avait fait un grand rêve, et voilà en ce jour nous vivons la concrétisation de son rêve. Disons bien haut en ce 8 mars, honneur et mérite à la femme du monde entier et notamment celle de la terre d’Haïti.
Vous croyez vous aussi, que nous avions besoin de tout pour faire un monde. Alors que penses tu de ceux qui croient, que nous avions besoin seulement de l’amour parfait pour bâtir un monde meilleur et une Haïti nouvelle.


Haiti: faut-il légaliser l’avortement?

L’interruption volontaire de grossesse (IVG) ou avortement, c’est l’expulsion de l’embryon ou du fœtus avant trois ou quatre mois de la grossesse.

L’avortement est avant tout un meurtre, selon l’avis de plusieurs personnes. Pour l’instant en Haïti, l’avortement est illégal et reconnu comme un crime passible d’un minimum de trois ans d’emprisonnement.

Selon un rapport de l’organisation mondiale de la santé (OMS), environ 47.000 femmes meurent chaque année des complications d’avortement clandestin. Toutefois en Haïti, le Ministre de la sante publique affirme, qu’il est quasiment impossible d’avancer un chiffre concernant l’avortement.

Dans  notre société, la plupart des filles qui pratiquent l’avortement n’ont pas toujours consciences  des conséquences d’un avortement dans des conditions clandestines. Pourtant, l’avortement même lorsqu’il se produit dans des conditions médicales correctes, il est relativement simple et sans danger. Les complications existent cependant (l’infection, lésion du col, perforation de l’utérus et hémorragie, etc.) affirme un jeune étudiant en sixième année de la faculté de médecine de l’université d’état d’Haïti.

A côté de la loi, interdisant l’avortement en Haïti. Le contexte socio-culturel contribue beaucoup à culpabiliser les femmes qui ont eu recours à cette pratique. En dépit de tout, les femmes et les jeunes filles confrontées à des grossesses non désirées, ont le plus souvent recours à l’avortement clandestin. Soit à l’aide de la médecine traditionnelle, pour celles de petite bourse ou elles prennent cette fameuse pilule appelée couramment cytotec, une substance utilisée en cas de mort << in utero>>.

Pour ces jeunes adolescentes, la recette est plus que facile. A jeun et très tôt le matin, la fille boit deux comprimes avec de la bière puis introduit un autre dans son vagin et le tour est joué.

Par ailleurs, s’il est vrai dans le monde entier, la tendance à la libéralisation des lois sur l’avortement se poursuit, dans notre cas il est impérativement important de jeter un coup d’œil sur ce problème.


Haiti part de l’Alphabétisation pour arriver à l’AlphaNétisation.

Être alphabétisé, c’est être capable de lire et d’écrire. Ainsi, sur le modèle du mot alphabet, qui est une combinaison des deux premières lettres grecques, Alpha et Bêta, le groupe croissance dirigé par le brillant économiste Kesner Pharel a introduit le néologisme  ALPHANET dans le langage haïtien.

Alphanet, c’est la combinaison de Alpha avec le mot Net, abrégé de network, pour designer l’un des changements fondamentaux qui se produit aujourd’hui. En outre le mot Alphanétisation a été conçu pour indiquer cette nécessité d’avoir plus de gens à s’intégrer au réseau de la nouvelle technologie de l’information et de la communication (NTIC).

Alors, de même que l’Alphabétisation consiste à donner les moyens de lire et d’écrire, afin que par ces connaissances qui sont indispensables, le citoyen arrive à communiquer sans difficulté dans sa société. L’Alphanétisation qui est entrain d’émerger dans le pays consiste à donner non seulement les moyens d’écrire et de lire, mais  aussi de communiquer et de s’exprimer à partir des réseaux (Networks), des techniques et des modalités nouvelles.

Si depuis 2004, les gouvernements haïtiens ne cessent pas d’investir dans l’alphabétisation, pour permettre à un plus grand nombre de gens de pouvoir lire et écrire. Aujourd’hui dans le souci de permettre au pays de grimper l’escalier du changement, ce nouveau concept a vu le jour. Car le projet d’alphanétisé le citoyen, est lié à ce besoin d’enseigner et de faire la promotion de l’utilisation d’internet et des NTIC dans différents domaines d’activités, afin de démocratiser l’accès à l’information et à la connaissance.

 


A quand une commission intérimaire pour la reconstruction de l’homme Haïtien ? (CIRHH).

Deux mois après le tremblement de terre du 12 janvier. La communauté internationale s’était réunie au siège des Nations-unies à New-York le 31 mars 2011, pour des discussions autour des besoins d’Haïti.

Une aide s’élevant à 9.9 milliards de dollars avait été promise à Haïti sur une période de dix (10) ans. Et de ce montant 3.9 milliards devraient être disponible pour les 18 mois prochains à compter de la date du 31 mars 2010. Ainsi, les représentants des Etats et organismes de financement à cette conférence des donateurs s’étaient mis d’accord sur la création de la CIRH, commission intérimaire pour la reconstruction d’Haïti.
Environ un an après la création de cette commission, ayant à sa tête l’ancien président américain Bill Clinton, rien n’a changé sous le ciel d’Haïti. La CRIH a totalement échoué dans sa mission. Selon plusieurs citoyens qui ne cessent pas de réfléchir sur l’avenir de notre pays, Haïti a besoin maintenant une commission pour la reconstruction de l’homme haïtien (CRIHH).
Construire l’homme Haïtien La reconstruction qui pourra effectivement changer la vie en Haïti doit évidemment passer par la construction de l’homme Haïtien. Le nouvel homme Haïtien doit être un homme engagé dans la société, la porte en lui-même et qui travaille vraiment à l’améliorer au jour le jour.
Depuis le tremblement de terre, les haïtiens vivent un traumatisme énorme. Comme dit certaine personne, nous sommes fissurés. Le moindre bruit nous fait penser à Goudougoudou*. A ce niveau également, il doit être question d’éducation. Pouvant préparer le nouvel haïtien à faire face contre des éventuels catastrophes.

Haïti a besoin des gens instruits et éduqués. Il est clair que nous avons encore une chance, la population de moins de 15 ans représente environ 36%. Voila une opportunité d’investissement dans l’éducation, la santé et l’emploi. En effet le développement d’un pays passe nécessairement par cet investissement dans l’homme, ce que les économistes appellent dans leur jargon le capital humain.
En effet, c’est la direction à prendre, au-delà de la construction des bâtiments. Si l’on veut vraiment donner vie et l’espoir d’un lendemain meilleur pour ce pays. Ici comme ailleurs, l’importance de l’éducation dans l’amélioration des conditions de vie dans tous les pays est reconnue.
Par ailleurs, le pays a besoin des gens honnêtes, ces genres d’hommes tendent à disparaître au fur et à mesure. La plupart des gens veulent accumuler de la richesse à n’importe quel prix. Ainsi, l’esprit du bien commun n’est plus de mise. La corruption s’installe et traverse toutes les couches de la société, cela suppose des pertes énormes pour les caisses de l’Etat. Certains services de l’administration publique se paient au prix d’or. Pour répéter un éditorialiste, très souvent le citoyen haïtien est contraint à mettre le vin dans les pots et quelque chose de dessous les tables. La conscience du bien commun est mise à mort.

En dernier lieu, l’haïtien ne doit pas être une personne en transit sur son propre territoire. Certains veulent le quitter parce qu’ils sont incapables de réaliser leur projet de vie. D’autres s’enrichissent dans le pays, pour bâtir l’avenir de leurs enfants haïtiens dans d’autres pays. Ainsi, pour bâtir un avenir meilleur pour Haïti, il faut partir par la reconstruction de l’homme haïtien.


Etes-vous stressé par rapport à l’information de la radio?

En général, la population haïtienne consomme beaucoup d’information qui lui parvienne des medias électroniques. Ainsi, certains medias tentent d’apporter d’une autre manière l’information au public.
En Haïti, il existe de nombreuses stations de radio, environ 200 dont 43 à Port-au-Prince, La plupart sont des radios privées et deux relais internationaux (RFI et la voix de l’Amérique). Plus populaire que la télévision, ces radios proposent une programmation qui s’échelonne sur l’information factuelle, le sport et la culture.
Par ailleurs, les radios les plus populaires sont celles qui présentent des émissions politiques à ces auditeurs. De ce fait, tenant compte de la situation sociopolitique du pays, les nouvelles qui arrivent au jour le jour à l’oreille des auditeurs ne sont guerre réjouissantes.
D’un autre coté, conscient de l’effet stressant des informations, certains directeurs des salles des nouvelles essaient depuis un certains temps de modifier la façon de présenter l’actualité à la population. En ce sens, il ya même une édition de nouvelle titrée : l’information sans stress. Il faut dire, les medias en haiti, jouent un role determinant dans la lutte politique qui s’evit dans le pays depuis avant même la chute de jean Claude Duvalier. Alors la grande question est de savoir: est ce que tous les medias électroniques vont continuer à passer en derision l’information des hommes politiques, pour porter à la population une nouvelle moins stressante.


Sont-ils tous des menaces pour la société?

La situation des enfants dans de nombreux pays du tiers-monde laissent à désirer. Dans  la capitale haïtienne, la condition des enfants de rue demeurent une tâche vraiment difficile pour les autorités Etatiques. Certains citoyens pensent que les enfants des rues sont le grenier des nouveaux bandits qui sèment la terreur  dans la société.

Cependant, à chaque fois qu’il   y ait  un qui est sorti  du lot et devenir un citoyen honnête. Cette question revienne à nouveau sur la table, à savoir est ce que les enfants des rues sont une menace pour la société.

Cette année, selon une petite enquête de proximité j’ai appris qu’il ya deux  jeunes, enfants des rues qu’ils étaient, ils  ont pris part aux examens du bac. Surprenant pour certains, un fait normal pour d’autres.

Jonas  a du laisser la ville de Gonaïves suite à la mort de ses parents, pour venir s’installer dans la capitale. Comme  beaucoup d’autres enfants qui viennent un peu partout dans les villes de provinces, Jonas avait du mal à vivre cette nouvelle vie. << J’ai toujours rêvé de continuer   mes études, pour cela le matin je vais essuyer les voitures  sur le long de l’auto route de Delmas et dans la soirée je vais à l’école. >> m’a déclaré ce jeune de 19 ans. Selon les propos de Jonas, il aurait gagné au moins 100 gourdes par jour soit environ 2 dollars américains.

Il faut souligner, les  enfants sont les premières victimes de la pauvreté que connaît Haïti. Victime de la situation économique, ils sont exposés à la drogue, à l’alcool et à la prostitution.

Les enfants ont, en effet, des besoins particuliers en tant qu’êtres humains en développement. Ainsi, il faut un état responsable qui puisse garantir aux enfants un avenir prometteur pour pallier à la délinquance juvénile.


Le chef de l’Etat doit partager le gâteau

Près de deux mois après l’installation du président, joseph Michel Martelly à la tête du pays, le chanteur devenir président n’arrive toujours pas à former son gouvernement.

Dans un premier temps, le chef de l’Etat avait désigné le citoyen Daniel Gérard Rouzier pour être son Premier Ministre, celui-ci n’avait pas trouve la bénédiction du Parlement.  Avec le rejet de ce choix par les parlementaires proche de l’ancien régime, Martelly a essuyé son premier échec au parlement.

Il faut dire selon la constitution haïtienne, dans le cas ou aucune formation politique n’a pas la majorité au parlement, il revient au président de la république en consultation avec les présidents des deux branches du parlement de designer son premier ministre. Toutefois, le groupe majoritaire au parlement réclame un partage de responsabilité au sein du nouveau gouvernement.  Pour les critiques les parlementaires ne réclament que le partage du gâteau, comme quoi le pouvoir de servir la population serait un atout pour les élus de  faire fortune au détriment de la population.

Le président Martelly, Elu sous base de promesse du changement de ce système, se voit dans l’impossibilité de cohabiter avec ces gens, selon lui qui ont passé plus de vingt-cinq ans au pouvoir et n’ont rien donné comme résultat.

Par ailleurs, le chef de l’Etat avant de s’envoler cette semaine pour l’Espagne avait nommé un autre Premier Ministre, qui selon toute vrai semblance ne va pas être ratifie par le parlement. Car selon certains parlementaires, le président doit bien négocier avec eux, avant même la ratification du choix d’un premier ministre.

C’est une crise qui s’annonce déjà  pour ce petit pays qui tarde à rattraper le train de la modernité.


A quand une nouvelle salle du cinéma à port-au-prince

A lorsque tout le monde croit que la culture est notre seule porte du bonheur, les jeunes cinéphiles ne cachent pas leurs amertumes face à l’inexistante des infrastructures culturels dans le pays.

Je suis un passionné du cinéma et je suis vraiment étonné d’apprendre qu’il n’y a aucune salle de cinéma  dans la capitale, a déclaré lamentablement un jeune venant passer ses vacances à Port-au-Prince.  Ainsi, dans un pays où les loisirs sont réduits à presque rien, la dernière salle du cinéma du pays avait fermé ses portes avant même le séisme du 12 janvier.

Pourtant, un responsable du ministère de la culture et de la communication contacté à ce sujet, nous à faire savoir : s’il est vrai qu’il n’y avait pas eu beaucoup de salle de ciné dans  la capitale, il ne faut pas oublier le séisme dévastateur du 12 janvier qui a tout balayé sur son passage.

En effet, il faut souligner que le décès du septième art dans l’ile est le résultat de la mauvaise gestion de la culture par les autorités haïtiennes. Car il n’existe aucun texte de loi permettant de lutter contre le piratage ou le droit d’Auteur.

En fin, il faut rappeler le 14 décembre 1999 avait marqué les 100 ans du cinéma en Haïti. Beaucoup de jeunes s’inquiètent sur l’avenir  du cinéma en  Haïti.


La Copa América peut calmer la tempête.

C’est l’été, il fait très chaud en Haïti, tout comme dans beaucoup d’autres pays du monde. Cependant, en Haïti quelqu’un peut priver l’être haïtien de tout autre chose, toutefois il faut bien faire attention avec le football.

Du 01 juillet au 24 de ce mois, tous les regards  seront rivés sur l’argentine, ou va se dérouler  la 43e édition du <<Copa América. >>

 

Pour les haïtiens c’est grande fête qui aura lieu du coté de l’argentine, c’est un moment de trêve national. On oublie les problèmes quotidien, il ya moins de pression sur les hommes politiques. En effet, si on pratiquait le football autant que nous en parlions, on pourrait détrôner le Brésil et l’Argentine considérant comme les deux géants du football Sud Américain. Mais les infrastructures sportives nous fait vraiment  défaut.

 

L’Argentine et le Brésil sont les deux sélections qui trainent beaucoup de fanatique en Haïti. Si les fans de l’Argentine pensent que leur équipe ne peut se permettre de laisser filer ce titre, d’un autre coté ceux du Brésil ne cessent d’encenser le jeune prodige brésilien, Neymar qui vient tout juste de remporter la <<Copa Libertadores>> avec son club Santos.

 

N’ayant jamais brillé en sélection d’argentine comme il fait très souvent avec son club, le ballon d’or 2009 et 2010 aura du pain sur la planche lors  de cette compétition.  De ce fait, le sélectionneur argentin Sergio Batista a décidé de placer Lionel messi, dans des positions proches de celles du Barça.

Il faut souligner que la sélection d’Argentine a environ 18 ans depuis qu’elle n’a  gagné  aucun titre.


Haiti: un nouveau combat pour la presse.

Sous la dictature de François Duvalier et de son fils Jean Claude Duvalier, on ne pouvait pas parler de la presse haïtienne. Car les travailleurs de presse devraient se renfermer dans leurs coquilles, sous  menace de ne pas être victime des actes de barbaries de ce régime ou pas peur d’être exilé du pays. Cependant, après de nombreuses luttes contre ce régime et plus exactement à partir de février 1986, la presse haïtienne était devenue libre.

Aujourd’hui, la presse joue un rôle prépondérant au sein cette société. C’est dans ce contexte, basant sur une remarque de James Madison : « Un gouvernement populaire sans information populaire ou les moyens de l’acquérir, n’est rien qu’un prologue à une farce ou à une tragédie ou peut-être aux deux.La connaissance régnera à jamais sur l’ignorance, et un peuple qui veut s’autogérer  doit se doter des armes que procure la connaissance. »

Sur ce, les associations de journalistes haïtiens veulent lutter pour le droit au libre accès à l’information. En effet, l’accès à l’information est souvent difficile dans bon nombre de pays tant du Nord que du Sud. Alors,  cela reste un grand défi pour la presse haïtienne Selon l’avis de plusieurs observateurs haïtiens. Selon ces derniers, ils critiquent les journalistes qui n’ont jamais lutté pour un cadre légal, qui aurait régit le bon fonctionnement de la presse en Haïti.

Alors entre une loi qui organise le bon fonctionnement  de la presse ou une lutte pour le droit à l’information à quoi on doit s’attendre ?


Livres en folie, une folie du journal le nouvelliste

Le 23 juin prochain, au parc historique de la canne à sucre à Tabarre, banlieue de la région métropolitaine. Le nouvelliste avec la complicité de la Unibank et d’autres partenaires, présentent pour le bien de tous livres en folie.

Parmi toutes les richesses d’Haïti, la culture haïtienne reste un atout majeur pour le développement du pays. Conscient de cette réalité, en dépit de toutes les difficultés qu’un quotidien doit surmonter tous les jours, le nouvelliste a eu le courage et des idées innovatrices pour nous présenter livres en folie. Alors, il faut être vraiment fou pour qu’on puisse faire de ce rêve une réalité.

Livres en folie c’est quoi ?

Faire la promotion de la culture haïtienne afin de vendre une meilleure image du pays à l’extérieur, ensuite c’est ouvrir un cadre, là ou les écrivains et les lecteurs peuvent se rencontrer aisément. Et d’autres part, suscité un intérêt particulier pour les livres chez les jeunes du pays. Et en dernier ressort, livres en folie permet aussi de découvrir d’autres auteurs qui étaient vraiment méconnu du public.

Cette année, pour ce méga évènement qu’est  la 17e édition du livres en folie, il y’aura près de 1449 titres disponibles et environ 134 auteurs en signatures.

Les lecteurs fous du livre auront une réduction de 40% et le plus important grâce à la magie de la technologie, les lecteurs de partout peuvent retirer leurs livres à partir du web du projet : www.livresenfolie.com

 

Des auteurs en signatures

Pour les  fans de la technologie, Gregory Domond va signer : Les technologies de l’information et la communication (TIC) pour le développement d’Haïti Tome 3. Et sous la direction de Fred Brutus, le public va découvrir René  Préval, avec le 100% Préval.

ALFRED, R Guinsly : Discours sur la doctrine scientifique de Galilée

BASTIEN, Barbara : Un jour de Janvier

BERNARD, Joseph Junior : Histoire de la colonie Italienne d’Haïti

CONSTANT, Jean Robert : L’essentiel sur les institutions judiciaires haïtiennes

DANTICAT, Edwige : La récolte douce des larmes, Le briseur de rosée.

DESHOMMES, Fritz : Et si la constitution de 1987 était porteuse de refondation

EZNA, Réginald : Les survivants d’une nation sans mémoire.

Ce sont ces auteurs et de bien  d’autres venant de la diaspora  qui seront présent par amour pour les œuvres littéraires et pour donner aux jeunes l’envie de lire et d’écrire.