Quelle leçon pour Haïti, dans l’affaire DSK !

Depuis maintenant deux semaines, Le patron du Fonds Monétaire international (FMI), Dominique Strauss-Kahn se trouve  dans un scandale sexuel qui fait la une de la presse internationale.

En Haïti, les débats concernant ce sujet vont bon train sur les places publiques tout comme dans l’université d’Etat d’Haïti. Les opinions sont partagées, si pour certains cette histoire n’est qu’une machination du gouvernement Français et notamment l’actuel président Nicolas Sarkozy. Pour d’autres l’homme fort du FMI, pourrait bien vouloir assouvir sa soif.

Pour les responsables des droits Humains en Haïti, la société haïtienne dans toute sa composante doit tirer des leçons dans l’affaire DSK. En réalité, si harcèlement sexuel est un crime dans d’autres pays. Dans la société haïtienne ce n’est que fait divers. En effet, cette pratique devient une loi que les hommes de l’administration publique et les gens très fortunés appliquent dans la société.

En Haïti les gens qui occupent une grande fonction ou qui possède beaucoup d’argent pensent que la loi n’est pas fait pour lui, ainsi il peut tout faire et personne ne peut rien contre lui.

Le pire, une belle fille bien qu’elle peut avoir la qualité requise et son diplôme, dès fois elle doit nécessairement passer une nuit avec le chef de l’institution pour être embauché.

Avec l’affaire DSK, le parlement haïtien doit voter une loi en ce sens. Car ce serait justice rendu à tant de femmes et d’hommes qui ont été victimes de ce comportement déviants de la plus part des gens de la société.

Dominique Strauss-Kahn avait été interpellé, le samedi 14 mai 2011 par la police de new-York. Puis inculpé d’agression sexuelle suivi de séquestration et de tentative de viol.